Fan fiction - Un souvenir de trop...

Coucou ^^

 

J'ai écris une fan fiction pour un concours qui a lieu sur Lecture Academy ^^

J'ai eu plusieurs avis mais je me suis dit pourquoi ne pas avoir les votres ^^

Alors voilà d'où cette nouvelle page : )

 

Par contre je me suis rendu compte qu'on ne pouvais mettre de commentaires sur les pages alors vous pouvez laissez vos commentaires ici

 

Sur ce bonne lecture =) J'espère que ça vous plaira =)  Et puis si vous avez le temps et si vous avez apprécié pourquoi ne pas laissé votre avis sur Lecture Academy ? Voilà pour donner votre avis sur LA ===> link

Mais faites comme vous voulez, je n'oblige personne =) =) =)

 


Un souvenir de trop...


Je frissonnai à la simple idée de mettre un pied dans cette vieille bicoque. Cette vieille maison délabrée était la seule chose dont j’avais hérité.

Mais à cet instant, je me demandais ce qui m’avait poussée à venir jusqu’ici. C’est vrai tout allait bien, je vivais dans une petite campagne située à quelques kilomètres de Paris, je faisais mes études dans une des prestigieuses universités de la capitale et j’avais de nombreux examens à la rentrée pourtant c’était comme si une force invisible m’avait obligée à gâcher une partie de mes vacances pour venir ici. Comme si quelque chose voulait que je découvre ce que cachait cette maison.

Depuis des générations ma famille avait vécu dans cette endroit et il était arrivé quelque chose d’horrible à chaque personne qui avait franchi le seuil de ce manoir. De plus une atmosphère étrange régnait sur les lieux...

Plongée dans mes pensées, je ne vis pas cet affreux corbeau plonger sur moi. Il était à présent perché sur ma tête et me picorait le crâne mais d’un coup de sac bien placé je l’envoyais valdinguer au loin ! Cet endroit était vraiment étrange, quel genre de corbeau attaquait sans raison ?

Je n’avais pas envie de m’attarder devant la porte de ce vieux château où à tout moment un autre corbeau pouvait m’attaquer. Je décidai donc d’entrer sans savoir ce que j’allai trouver à l’intérieur. J’allai sortir les clés de mon sac pour pouvoir ouvrir cette énorme porte, quand d’un seul coup celle-ci s’ouvrit toute seule. J’étais terrorisée, d’abord le corbeau, puis la porte, je commençais vraiment à me dire que ce manoir était hanté...

Deux solutions s’offraient à moi : la première je décidais d’entrer pour percer le secret que détenait cette maison, soit je m’enfuyais comme un lâche. Je choisis l’option numéro deux pensai-je. Mais à cet instant, ce fut comme si quelqu’un m’avait entendu et je fus propulsée à l’intérieur du manoir ! Mais non c’est impossible je suis seule ! Comment ais-je pu me retrouver là ?? hurlai-je intérieurement. Seulement tout cela était bien réel. A présent je n’avais plus aucun doute sur ce qu’on racontait sur cette vieille maison. Je me rappelle encore la voix de mon grand-père quand il était revenu d’ici :

" Chaque personne qui ose pénétrer dans ce manoir en payera de sa vie. Seul celui qui sera destiné à découvrir le secret de notre famille pourra en ressortir... vivant"

Pourtant lui en était ressorti vivant mais depuis qu’il était revenu, il était devenu un légume. Depuis maintenant 10 ans il répétait sans cesse cette malédiction concernant le manoir. Tout de suite, j’étais certaine d’une seule et unique chose : je devais m’enfuir au plus vite ! La porte était encore entre-ouverte alors avec un peu de chance je pourrai m’y faufiler pour rejoindre ma voiture et ne plus jamais revenir ! Il y avait pourtant un détail qui me retenait : le manoir était totalement vide. Non mais on se moquait de moi ? Ce manoir était censé détenir un secret mais il était... vide ! Cela aurait dû renforcer mon désir de partir d’ici au plus vite mais l’effet inverse se produisit : on aurait dit qu’au fur et à mesure que je passai du temps à l’intérieur de cette maison, celle-ci m’engloutissait. De plus je n’avais pas bougé de ma place mais j’avais l’impression que la porte s’éloignait de moi, qu’elle disparaissait. Je deviens folle ! Je suis clouée là et le pire c’est que ça me plait ! J’ai envie de rester là pour enfin découvrir le secret de ce manoir, alors que toute personne saine d’esprit se serait déjà enfuie !

C’est alors, qu’une nouvelle fois, quelque chose me surprit dans mes pensées sauf que cette fois ce n’était pas un corbeau mais le claquement brutal d’une porte. J’avançais prudemment pour déceler l’origine du bruit quand j’aperçus la porte en question : elle donnait sur une grande salle à manger où seul un tableau trônait sur une vieille tapisserie bordeaux. J’étais là maintenant, je ne pouvais plus reculer, il fallait que je sache ! Je m’avançais sur le pas de la porte quand je sentis quelque chose sous ma chaussure. Je m’abaissai pour voir ce que c’était et je découvris un morceau de papier où était écrit : Entre je t’en prie. Nous t’attendions.

Espèce d’idiote ! m’écriais-je pour moi-même ! Sors d’ici tout de suite si tu ne veux pas finir comme ton grand père, ma pauvre fille ! Mais la même chose que pour la porte d’entrée se produisit : je fus propulsée dans la pièce et la porte claqua violemment. Cette fois ci j’étais vraiment prise au piège et je savais que jamais je ne ressortirai vivante de ce manoir. Mon instinct me dictait malgré tout d’explorer la pièce pour trouver un quelconque moyen de sortie.

Je cherchais pendant une bonne demi-heure en quête d’une sortie mais je ne trouvais rien. La salle à manger était vide de toute issue. Il n’y avait que ce tableau mais je doutais pouvoir m’enfuir avec un tableau...

C’est alors qu’une idée me traversa l’esprit. Peut être que si j’arrivais à décrocher le tableau et l’envoyer suffisamment fort pour casser la fenêtre, je pourrai m’échapper par là et dans le pire des cas je m’égratignerais un peu avec les débris de verre. Je préférais largement ça, à mourir ici !

Je commençai à détacher le tableau du mur, Par chance il était à ma hauteur. puis je m’élançais vers la fenêtre et lançais de toute mes forces le tableau à travers celle-ci ! La fenêtre vola en éclat et me laissa suffisamment de place pour passer. Bon d’accord, je vous l’accorde, je ne m’en tirerai pas qu’avec quelques égratignures.

Je pris mon élan de l’autre bout de la pièce pour avoir assez de force pour sauter ! A vrai dire, j’espérais surtout avoir bien calculé mon coup. Je sautai. Seulement,à partir de là tout devint confus. Au moment où j’allais "traverser" la fenêtre, cette dernière s’était refermée. J’avais ressenti un choc, des éclats de verre se trouvant par terre me transpercaient la main et la cheville puis un trou noir...

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